Ce phénomène souvent lié, encore plus après une intervention chirurgicale visant à diminuer l’hypertrophie de la prostate.

La nature nous offre une nouvelle fois de multiples solutions, tant dans le règne végétal que dans celui du minéral :

 

• La Sarriette

Utilisée autrefois en cuisine comme conservateur des aliments, on la connait aujourd’hui plutôt comme aromate, trouvant sa place dans nos plats, sirops, glaces et liqueurs.

Dans les années 1970, des études réalisées par une équipe de chercheurs de l’université de Montpellier conduite par le professeur Pellecuer, sur l’huile essentielle de sarriette, ont permis de la classer au rang des essences majeures pour ses propriétés bactéricides et antiparasitaires.

Le tribulus contribue à la santé des organes reproducteurs et aux performances sexuelles. Il stimule la libido.

Ses utilisations sont multiples et variées notamment lors d’asthénie passagère.

Appelé également gingembre provençal, cette plante fût interdite dans les jardins des monastères, son nom latin, » satureia » dériverait du mot satyres, divinités mythologiques quelque peu « polissonnes ». Citée dans un ouvrage de botanique, le De Viribus Herbarum publiée à Naples en 1477 et traduit en français par le Pr Louis Baudet en 1845, la sarriette est recommandée « en breuvage, mêlée avec du miel et du poivre », car, « elle enflamme les sens d’ardeurs immodérées ».

Plus tard, le Dr Jean Valnet dira de la sarriette qu’elle est un aphrodisiaque. C’est donc une plante incontournable de la phytologie, stimulante par définition et donc toujours utile.

 

   

Le saviez-vous?


Le zinc se trouve aussi, dans la nature, sous la forme minérale d’un sulfure appelé sphalérite ou blende. Posé sur le bas ventre quelques minutes, son action électrique va stimuler la prostate en diffusant soufre et zinc.

 

• Le Zinc

Constituant essentiel de plus de 80 enzymes, ce minéral joue un rôle dans tous les grands métabolismes et dans un nombre incalculable de réactions biologiques. Il soutient le fonctionnement endocrinien. Des chercheurs ont pu mettre en évidence l’action du zinc contre la paresse libidinale, son utilité pour la formation de spermatozoïdes actifs et mobiles.

Pas étonnant que la prostate soit le site de la plus haute concentration en zinc dans l’organisme humain. Le zinc contribue au maintien d’une fertilité et d’une reproduction normales. Il contribue également au maintien d’un taux normal de testostérone dans le sang.

Le Zinc et la Sarriette s’associent donc parfaitement avec le Tribulus, une autre plante contribuant à la production normale de testostérone dans l’organisme.

Il est difficile de dispenser une information complète et exhaustive sur un tel sujet en quelques lignes.
Dame nature nous comble de ses bienfaits pour nous permettre de passer les caps difficiles en évitant les désagréments du temps qui passe. Alors vivons l’instant présent en donnant de la vie à nos années.

 

 

Philippe Mathelet
Blog : minerauxetcorpshumain.fr