Le temps passe vite et le corps humain n'y échappe pas : vieillissement cellulaire, apparition des rides et ridules, douleurs articulaires… Alors, quand prendre du collagène, cette protéine anti-âge qui intervient dans les tissus conjonctifs ? Que ce soit pour l'élasticité de la peau, sa fermeté, ou pour votre cartilage et vos articulations, le plus tôt est le mieux, bien sûr ! Mais si vous ne vous êtes pas décidé avant, soutenir votre production de collagène devient incontournable à partir de 45 ans. D. Plantes vous dit pourquoi.

 

Quand votre organisme en produit de moins en moins = quand prendre du collagène

 

CQFD ! En effet, jusqu'à vos 25 ans environ, hors soucis de santé particuliers, la synthèse du collagène dans votre organisme se passe très bien. Mais, à partir de là, vous pouvez sérieusement commencer à vous demander quand prendre du collagène. Car, au fil des ans, votre production de collagène se met à diminuer, de 1% chaque année, jusqu'à vos 45 ans environ. Et là, la chute s'accélère, atteignant jusqu'à 30% de création en moins tous les ans ![CS1] 

 

Vieillissement cellulaire et peau : le tournant inévitable des quarantenaires

 

En vérité, votre peau commence à vieillir dès vos 20 ans. Toutefois, au début, les signes de vieillissement ne sont pas vraiment visibles. À 30 ans, la régénération des cellules cutanées ralentit. À 40 ans, en lien avec la baisse de votre production de collagène, la fermeté de la peau n'est plus la même et les premières rides font leur apparition. Et puis, à partir de 50 ans, le relâchement s'accélère, car les fibres de collagène sont moins denses… Une supplémentation via des compléments alimentaires peut alors soutenir votre système cutané contre ce vieillissement des cellules.

 

Le rôle du collagène pour vos articulations

 

Le collagène joue un rôle très important pour le tissu conjonctif, mais aussi pour le cartilage, le tissu osseux et les ligaments. Et là encore, plusieurs facteurs indiquent quand prendre du collagène pour compenser les pertes dues à l'âge. En effet, à partir de 45 ans, commencent aussi à apparaître les changements hormonaux chez la femme. La ménopause est une période délicate pour la santé osseuse, avec les risques accrus de déminéralisation. Les suppléments de collagène – en gélules, en comprimés, en stick ou à boire – participent à une meilleure résistance mécanique des articulations. Or, des articulations plus solides contribuent à la réduction du risque de blessures ou de fractures.

 

Pour les hommes, le collagène revêt aussi son importance à partir de 45 ans. Car, même sans ménopause, les messieurs connaissent aussi une baisse de la production de collagène et ne sont pas à l'abri de l'arthrose ou de l'arthrite.

 

Les bienfaits du collagène dès 45 ans… ou avant !

 

Maintenant que vous savez quand prendre du collagène, il est temps de vous rappeler pourquoi il est essentiel d'en prendre ! Les bienfaits du collagène sont en effet nombreux :

 

  • Il aiderait à réduire les douleurs articulaires dans les troubles de l'articulation comme l'arthrite ou l'arthrose [CS2].
  • L'hydrolysat de collagène, donc sa forme la plus absorbable, jouerait un rôle dans la prévention de l'ostéoporose [CS3].
  • En association avec le calcium, il participerait à une meilleure densité osseuse [CS4].
  • En complément alimentaire, il favorise le renouvellement cellulaire

 

Soutenir la lutte contre le vieillissement des cellules dès que possible

 

Que ce soit au niveau cutané ou au niveau articulaire, adoptez les bons gestes le plus tôt possible. Ainsi, une bonne hydratation de la peau participera à préserver sa fermeté, tout comme une bonne hygiène de vie. Pour les articulations, faites de même : faites de l'activité physique, mais sans excès et privilégiez un régime alimentaire équilibré.  Enfin, vous savez maintenant quand prendre du collagène, mais pensez aux autres compléments qui peuvent optimiser vos efforts : l'acide hyaluronique, la vitamine D ou les oméga 3, par exemple.

 

Sources : 
 [CS1]https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/8981338/
 [CS2]https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/17076983/
 [CS3]https://www.scielo.br/j/rbgg/a/fk95TfhxB7mPsmqYRDdHH8K/?lang=en
 [CS4]https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25314004/