Tonus en berne, fatigue, déprime, douleurs ou crampes : votre taux de vitamine D dans le sang est trop bas et vous voulez entamer une supplémentation. Vitamine D3 posologie : D Plantes vous dit tout sur vos besoins journaliers en vitamine D. Soutien incontournable du système immunitaire, de l'absorption du calcium par votre organisme et donc de votre santé osseuse, la vitamine D3, qui répond aussi au doux nom de cholécalciférol tient un rôle de première importance dans votre santé. De quelle quantité de vitamine D3 par jour avez-vous besoin ? Comment la prendre ? Suivez le guide avec D.Plantes.

 

Vitamine D3 posologie : quelles recommandations officielles ?

Pour les besoins journaliers en vitamine D, on parle de microgrammes ou d'UI, les unités internationales. Mais entre les recommandations officielles faites en France ou à l'étranger, il n'est pas toujours facile de déterminer quelle quantité de vitamine D3 par jour est nécessaire. Et même dans un même pays, la question vitamine D3 posologie donne parfois lieu à des informations contradictoires ! C'est ainsi le cas en France où l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation et du travail (ANSES) recommande des apports de vitamine D de 200 UI par jour pour les adultes ; alors que, dans le même temps, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) préconise un dosage quotidien de 400 à 800 UI jusqu'à 18 ans !

 

Toujours en France, l'académie nationale de médecine souhaiterait que ces préconisations soient réévaluées : entre 800 et 1500 UI / jour selon les différents âges de la vie. Elle indique même des niveaux supérieurs sans danger allant jusqu'à 4000 UI / jour ! [CS1] Et aux États-Unis, l'Endocrine Society States voit bien plus grand ! Ce sont cette fois des apports de 2000 UI / jour qui sont estimés nécessaires pour les adultes.

 

Quelle quantité de vitamine D3 par jour ? Les recommandations de D.Plantes

Au vu des différentes études scientifiques et des diverses recommandations à l'international, D.Plantes vous recommande une posologie de vitamine D3 comme suit :

- En été, en région ensoleillée et pour les personnes ne présentant pas de risques accrus de déficience en vitamine D : 1000 UI / jour.

- En hiver ou à l'approche de l'hiver, en cas d'un déficit d'ensoleillement ou pour les personnes à risques : 2000 UI / jour.

 

Pour rappel, les populations plus à même de présenter un taux insuffisant de vitamine D sont :

- Les personnes s'exposant peu ou pas au soleil

- Les personnes à la peau mate ou foncée

- Les personnes âgées

- Les femmes enceintes

- Les personnes souffrant de surpoids ou d'obésité

- Les fumeurs

 

Comment prendre la vitamine D3 en supplémentation ?

Les compléments alimentaires vous proposant des apports en vitamine D peuvent se présenter sous forme de vitamine D3 en gouttes, en spray sublingual, en comprimés ou en capsules. Ces différents formats possèdent tous la même efficacité pour assurer vos besoins journaliers en vitamine D. Pour en faciliter l'absorption par votre organisme, pensez juste à bien prendre votre complément alimentaire au cours d'un repas.

La seule distinction qui peut avoir son importance dans cette question vitamine D3 posologie, c'est la fréquence à laquelle vous décidez de vous supplémenter. En effet, en 2007, une étude menée sur les personnes âgées par le professeur Victor Chel aux Pays-Bas, a permis d'établir qu'il est plus efficace d'opter pour un complément quotidien qu'hebdomadaire ou mensuel[CS2] .

 

Alimentation et apports en vitamine D

Les aliments riches en vitamine D3 sont essentiellement d'origine animale, comme l'huile de foie de morue, les poissons gras de type saumon, ou encore le jaune d'œuf. Cela peut donc poser un problème pour le statut vitaminique des végétariens ou pour les personnes suivant un régime végan. Des formules végétales existent toutefois. Elles sont alors issues du lichen boréal, une plante née de l'association d'une algue et d'un champignon.

 

Sources :
[CS1]https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2017/01/tap-1011-10151.pdf
 [CS2]https://link.springer.com/article/10.1007/s00198-007-0538-2